Conférence Paris Berlin Moscou 2010
Posté par Olivier de Granville 27 mars 2010Cinq intervenants et plus de 120 personnes présentes samedi 20 mars dernier pour le dîner débat de l’Association Alliance France-Europe Russie (AAFER) : une réussite porteuse d’espoir pour l’avenir.
La question du partenariat franco-russe est plus que jamais d’actualité ; deux grands médias russes étaient d’ailleurs présents et ont interrogé les responsables de l’association et quelques intervenants de cette soirée. L’afflux massif des réactions et des messages d’encouragements prouvent les attentes nombreuses dans ce domaine.
Le colonel Philipot (Délégué Général de l’association), introduisant la soirée, nous en a défini la problématique : depuis la fin de la seconde guerre mondiale, l’Europe s’est laissé embrigader par un pouvoir tout puissant établi à Washington. Ce pouvoir a vidé l’Europe et la France de son âme et de son identité pour la soumettre à ses intérêts mercantiles et mondialistes. Aujourd’hui, l’Europe et la France, plus fragile et plus vulnérable que jamais, s’offrent à la puissance turque. Face à la puissance démographique et le volontarisme politique de la Turquie, L’Europe risque de se liquéfier et de se soumettre à ses velléités.
Le consul honoraire, Monsieur Alexandre Miller de la Cerda, touché en premier chef par les conflits immémoriaux entre la Turquie et l’Europe de Thermopyles à la Crimée, montra à quel point les familles européennes, à commencer par la sienne, ont souffert des guerres contre l’empire Perse et de l’occupation Ottomane sanglante. Il a rappelé que la Russie, « Troisième Rome », a été un des obstacles à l’invasion ottomane de l’Europe.
Le prince Sixte de Bourbon-Parme, dans le message qu’il a voulu transmettre, a exposé combien l’Europe avait souffert de la présence Turque et a rappelé que l’Europe n’avait été grande que dans l’alliance chrétienne qui existait entre les deux capitales de l’empire européen : Rome et Byzance.
Monsieur Mascré, professeur à l’école des Hautes Etudes Internationales, a ensuite démontré que ces alliances obéissent à des permanences historiques. Les puissances océaniques, l’Angleterre et les Etats-Unis, ont toujours voulu la division des Nations terrestres (le Heartland). L’unité des nations continentales serait le principal obstacle de l’hégémonie américaine et anglaise aujourd’hui triomphante. Continuer la division entre les nations continentales ne servirait qu’à favoriser le jeu de Washington et sa théorie mondialiste destructrice des peuples et des civilisations.
Monsieur Rousset, auteur du livre La nouvelle Europe : Paris-Berlin Moscou, a d’ailleurs confirmé cette douloureuse réalité. Rappelant les propos de l’ambassadeur de France Gilbert Pérol : « Le courage politique oblige à dire que c’est contre les Etats-Unis qu’il faut faire l’Europe ou alors il n’y aura pas d’Europe », il a introduit d’une manière fracassante cette problématique. L’Europe ne va pas de Washington à Bruxelles mais de Brest à Vladivostok. La Russie est européenne par ses morts, par sa population blanche et chrétienne, par sa culture et son histoire. Une alliance bipolaire d’équilibre entre l’Europe Carolingienne et la Russie est-européenne est la seule alternative à ce monde liberticide et déniant les souverainetés.
Ces propos d’un rare niveau intellectuel ont été couronnés par Monsieur Berthault, polytechnicien. Par son histoire passionnante, ses anecdotes croustillantes et sa jeunesse d’esprit malgré ses 85 ans, il a su redonner espoir à ces participants assommés par la terrible réalité européenne. Après sa vie professionnelle et sur les conseils de son directeur spirituel, Monsieur Berthault avait décidé de se consacrer à la science se penchant plus spécialement sur la théorie évolutionniste : par ses expériences et par ses analyses objectives, il a prouvé que les résultats présentés par Darwin et ses disciples étaient basés sur des hypothèses fausses. Ces découvertes furent explosives. Elles remettaient en cause toute la théorie libérale destructrice. Avaliser ses démonstrations sur l’erreur de cette théorie évolutionniste aurait pu arrêter toutes les fausses doctrines qui nous hantent aujourd’hui. Mais, et ceci ne surprendra personne, ses recherches ont vite été étouffées en France alors qu’elles ont eu un accueil surprenant des instituts scientifiques de Saint-Pétersbourg et Moscou. La liberté n’est forcément pas là où elle dit habiter.
Fabrice Sorlin, président de l’association, a clôturé cette soirée en gardant la même liberté de ton et en affirmant que l’AAFER continuera de se battre pour l’objectif qu’elle s’est fixé : enlever la France de ce monde frelatée et consumériste incarné par l’Union Européenne sous le joug de Washington et de son idéologie mondialiste. Il est vital pour libérer l’Europe de son esclavage, que La France et l’Europe, unie à la Russie propose au monde une alternative à la pensée unique, en s’appuyant sur sa force morale et sur ses traditions et en soutenant les forces vives qui subsistent en Allemagne et en France ou ailleurs en Europe.
« Renouer avec les liens éternels qui nous unissent à la Russie. Telle sera notre mission !
Et elle ne se fera pas sans vous, sans votre aide matérielle et spirituelle ; sans votre soutien et vos encouragements ; sans votre présence et votre dévouement. Le temps presse. Notre pays s’enfonce chaque jour un peu plus dans la décadence. En soutenant nos efforts, vous contribuerez avec nous à reconstruire le pont unissant l’Europe péninsulaire à la Russie. »
L’AAFER tient à remercier chaleureusement tous les intervenants et les nombreux participants de cette soirée. Ils sont la preuve que notre travail est source d’espoir et que nous le continuerons.
L’AAFER remercie les sites de partis ou soutenant des partis, ainsi que tous les sites de mouvements ou d’informations, qui ont eu l’amabilité d’annoncer le dîner avec conférence du 20 mars et d’avoir mis en ligne le programme [1], ainsi que les sites non listés ici pour avoir échappé à sa « veille » sur la toile.
L’AAFER remercie aussi les magazines et journaux de la presse écrite qui ont annoncé le dîner-conférence [2].
L’AAFER remercie tout particulièrement Radio Courtoisie de lui avoir plusieurs fois offert la possibilité de présenter son association et d’annoncer son activité du 20 mars.
L’AAFER va poursuivre son activité dans le cadre de diverses rencontres. Elle invite donc ceux qui ont fait état de cette activité, mais aussi tous les autres partis et mouvements intéressés par son action, à s’associer également aux prochaines activités.
La question du partenariat franco-russe est plus que jamais d’actualité ; deux grands médias russes étaient d’ailleurs présents et ont interrogé les responsables de l’association et quelques intervenants de cette soirée. L’afflux massif des réactions et des messages d’encouragements prouvent les attentes nombreuses dans ce domaine.
Le colonel Philipot (Délégué Général de l’association), introduisant la soirée, nous en a défini la problématique : depuis la fin de la seconde guerre mondiale, l’Europe s’est laissé embrigader par un pouvoir tout puissant établi à Washington. Ce pouvoir a vidé l’Europe et la France de son âme et de son identité pour la soumettre à ses intérêts mercantiles et mondialistes. Aujourd’hui, l’Europe et la France, plus fragile et plus vulnérable que jamais, s’offrent à la puissance turque. Face à la puissance démographique et le volontarisme politique de la Turquie, L’Europe risque de se liquéfier et de se soumettre à ses velléités.
Le consul honoraire, Monsieur Alexandre Miller de la Cerda, touché en premier chef par les conflits immémoriaux entre la Turquie et l’Europe de Thermopyles à la Crimée, montra à quel point les familles européennes, à commencer par la sienne, ont souffert des guerres contre l’empire Perse et de l’occupation Ottomane sanglante. Il a rappelé que la Russie, « Troisième Rome », a été un des obstacles à l’invasion ottomane de l’Europe.
Le prince Sixte de Bourbon-Parme, dans le message qu’il a voulu transmettre, a exposé combien l’Europe avait souffert de la présence Turque et a rappelé que l’Europe n’avait été grande que dans l’alliance chrétienne qui existait entre les deux capitales de l’empire européen : Rome et Byzance.
Monsieur Mascré, professeur à l’école des Hautes Etudes Internationales, a ensuite démontré que ces alliances obéissent à des permanences historiques. Les puissances océaniques, l’Angleterre et les Etats-Unis, ont toujours voulu la division des Nations terrestres (le Heartland). L’unité des nations continentales serait le principal obstacle de l’hégémonie américaine et anglaise aujourd’hui triomphante. Continuer la division entre les nations continentales ne servirait qu’à favoriser le jeu de Washington et sa théorie mondialiste destructrice des peuples et des civilisations.
Monsieur Rousset, auteur du livre La nouvelle Europe : Paris-Berlin Moscou, a d’ailleurs confirmé cette douloureuse réalité. Rappelant les propos de l’ambassadeur de France Gilbert Pérol : « Le courage politique oblige à dire que c’est contre les Etats-Unis qu’il faut faire l’Europe ou alors il n’y aura pas d’Europe », il a introduit d’une manière fracassante cette problématique. L’Europe ne va pas de Washington à Bruxelles mais de Brest à Vladivostok. La Russie est européenne par ses morts, par sa population blanche et chrétienne, par sa culture et son histoire. Une alliance bipolaire d’équilibre entre l’Europe Carolingienne et la Russie est-européenne est la seule alternative à ce monde liberticide et déniant les souverainetés.
Ces propos d’un rare niveau intellectuel ont été couronnés par Monsieur Berthault, polytechnicien. Par son histoire passionnante, ses anecdotes croustillantes et sa jeunesse d’esprit malgré ses 85 ans, il a su redonner espoir à ces participants assommés par la terrible réalité européenne. Après sa vie professionnelle et sur les conseils de son directeur spirituel, Monsieur Berthault avait décidé de se consacrer à la science se penchant plus spécialement sur la théorie évolutionniste : par ses expériences et par ses analyses objectives, il a prouvé que les résultats présentés par Darwin et ses disciples étaient basés sur des hypothèses fausses. Ces découvertes furent explosives. Elles remettaient en cause toute la théorie libérale destructrice. Avaliser ses démonstrations sur l’erreur de cette théorie évolutionniste aurait pu arrêter toutes les fausses doctrines qui nous hantent aujourd’hui. Mais, et ceci ne surprendra personne, ses recherches ont vite été étouffées en France alors qu’elles ont eu un accueil surprenant des instituts scientifiques de Saint-Pétersbourg et Moscou. La liberté n’est forcément pas là où elle dit habiter.
Fabrice Sorlin, président de l’association, a clôturé cette soirée en gardant la même liberté de ton et en affirmant que l’AAFER continuera de se battre pour l’objectif qu’elle s’est fixé : enlever la France de ce monde frelatée et consumériste incarné par l’Union Européenne sous le joug de Washington et de son idéologie mondialiste. Il est vital pour libérer l’Europe de son esclavage, que La France et l’Europe, unie à la Russie propose au monde une alternative à la pensée unique, en s’appuyant sur sa force morale et sur ses traditions et en soutenant les forces vives qui subsistent en Allemagne et en France ou ailleurs en Europe.
« Renouer avec les liens éternels qui nous unissent à la Russie. Telle sera notre mission !
Et elle ne se fera pas sans vous, sans votre aide matérielle et spirituelle ; sans votre soutien et vos encouragements ; sans votre présence et votre dévouement. Le temps presse. Notre pays s’enfonce chaque jour un peu plus dans la décadence. En soutenant nos efforts, vous contribuerez avec nous à reconstruire le pont unissant l’Europe péninsulaire à la Russie. »
L’AAFER tient à remercier chaleureusement tous les intervenants et les nombreux participants de cette soirée. Ils sont la preuve que notre travail est source d’espoir et que nous le continuerons.
L’AAFER remercie les sites de partis ou soutenant des partis, ainsi que tous les sites de mouvements ou d’informations, qui ont eu l’amabilité d’annoncer le dîner avec conférence du 20 mars et d’avoir mis en ligne le programme [1], ainsi que les sites non listés ici pour avoir échappé à sa « veille » sur la toile.
L’AAFER remercie aussi les magazines et journaux de la presse écrite qui ont annoncé le dîner-conférence [2].
L’AAFER remercie tout particulièrement Radio Courtoisie de lui avoir plusieurs fois offert la possibilité de présenter son association et d’annoncer son activité du 20 mars.
L’AAFER va poursuivre son activité dans le cadre de diverses rencontres. Elle invite donc ceux qui ont fait état de cette activité, mais aussi tous les autres partis et mouvements intéressés par son action, à s’associer également aux prochaines activités.
Source : http://www.nationspresse.info/?p=83297#more-83297
